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Sam Isoard

© Eric Meurice

Né dans la capitale auvergnate, Samuel Isoard étudie la guitare classique puis la guitare jazz aux Conservatoires de Clermont-Ferrand et de Lyon. En parallèle il écoute et relève les grands noms de la musique blues, rock et soul comme Jimi Hendrix, Stevie Ray Vaughan ou BB King. A l’adolescence il découvre Léo Ferré, Jean-Louis Murat ou encore Georges Brassens qui le touchent particulièrement par leur lien étroit avec la poésie. Cette riche formation musicale l’amène à jouer, en tant que guitariste, dans des groupes aux esthétiques variées sur les scènes lyonnaises et auvergnates.

Vient ensuite le temps du voyage : près de trois années passées entre Cartagène, Medellin, Cali et Quito à côtoyer de nouvelles cultures musicales. Là-bas il découvre le son cubano, la salsa, la musique andine et les rythmes afro-colombiens. C’est le temps de la vadrouille et de la débrouille, ce qui l’amène à composer et chanter ses premières chansons.

De retour en France en plein confinement, c’est le moment d’écrire, de créer et de peaufiner de nouvelles compositions . Quand enfin il est permis de sortir, le voilà parti sur les routes pour présenter son concert solo en tant que chanteur-guitariste (Sam Isoard). Pendant deux ans il écume les scènes des cafés-concerts, des bars associatifs d’Auvergne, de Bretagne, de Provence et de Drôme et fait quelques apparitions dans les salles lyonnaises (A Thou Bout d’Chant, le Marché Gare, Salle des Rancy, le Jack Jack).

On lui prête alors une ressemblance plus ou moins lointaine avec Thomas Fersen, Henri Salvador, Dick Annegarn, Léo Ferré ou encore Claude Nougaro mais on est toujours surpris par l’originalité des textes et par la diversité des influences musicales.

Aujourd’hui il est entouré de deux musiciens, PM Bommier (violon) et Phil Monge (contrebasse), qui viennent colorer ses chansons avec leurs pizz bondissants, leurs nappes de cordes planantes et leurs improvisations endiablées…